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| Et dès le lendemain. Nous laissons Enzo aux bons soins de ses grands parents et attaquons aussi l'ascension du Pico, pas de chance les nuages sont au rendez vous. | La végétation est plutôt rase. Les bruyères qui arrivent à couvrir les roches sont d'un vert intense. Le paysage est mystérieux, enveloppé de silence et de brumes cotonneuses. | La lave a creusé des galeries et même des grottes. | Le savoyard est dans son élément, pendant ce temps là je m'essouffle et j'ai l'impression que mon coeur va traverser ma poitrine. Mais j'arriverais quand même à le suivre toute la journée moyennant qu'il s'arrête toutes les 5 minutes pour m'attendre. |
Et hop au bout de 2h30 de montée, nous voici au sommet de Pico pequeno, où on s'arrête pour piqueniquer. On s'y trouve comme au hammam grâce aux fumerolles qui viennent nous réchauffer de leur souffle humide. |
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| Après le déjeuner, nous descendons dans le cratère. | Cette drôle d'installation au milieu du cratère sert peut être à mesurer l'activité volcanique du volcan ?... ou bien elle alimente les fumerolles comme le suggère Domi !!! | Nous nous engouffrons dans la brèche pour remonter sur la crête et faire le tour du cratère. Après une longue descente, rendue un peu pénible par les éboulis sur lesquels on ne cesse de glisser avec nos baskets. On prend la route à pieds pour faire du stop. Merci aux sympathiques couples d'Europe centrale qui nous ont permis de redescendre à Madalena. | Le lendemain, le Pico nous nargue avec un profil dégagé. |
Domi et Malou décident de louer un scooter pour faire le tour de l'île. |